reconnaissance hiérarchie sourde, conditions de travail compliquées, parents omniprésents et très peu ouverts d’esprit, élèves trop peu intéressés par ce qu’on leur propose (et ce malgré le temps passé à concocter des séances motivantes). Cela représente une profonde déception à la hauteur des aspirations que j’avais.
Jen ai marre d'être trop gentille, trop sensible, trop fragile, trop inquiète, trop douce, trop crédule, trop tout. J'en ai marre de m'attacher trop vite, de tout prendre trop à cœur, d'apporter de
Finalement chéri (e) veut vivre et vous quitte. 4. Lassé (e) d’être isolé (e) Avant d’être en couple, la vie sociale de votre conjoint (e) était riche. Il ou elle sortait et voyait ses amis. En couple avec un dépendant affectif, notre vie sociale se dégrade.
Voyageen Thaïlande. Quelle déception cette Thaïlande (page 5). N'avez vous pas remarqué une forte dégradation de ce pays qui était pourtant si bien il y a encore peu de temps?Habitué a y aller au moins 2 fois par an, j'y ai remarqué une forte prise de grosse
Lepsychanalyste risque d’être aspiré à son tour ou surtout de se défendre de cette absorption par une tendance à être trop présent et trop actif. Sur le plan contre-transférentiel, l’analyste ne peut s’empêcher d’avoir pour sa patiente un désir (qu’elle quitte le pervers) qui peut devenir un objectif dans l’actualité (la sauver d’un réel danger), attitude qui risque
L8b0nhw. Chez les hommes, on trouve plusieurs comportements amoureux, mais si on devait les classer en 2 catégories, on opterait d’un côté pour les hommes virils, sûrs d’eux et qui assument leurs envies, et de l’autre pour…les Canards ! Si vous n’avez jamais entendu parler de ce syndrome du canard, on vous explique en quoi consiste cette attitude qui ne vous aidera pas avec les filles. Jouer les gentils garçons ne paye pas, alors apprenez comment vous débarrasser de cette attitude niaise, comment reprendre en main vos techniques de séduction et votre vie amoureuse ! Syndrome du canard mais qu’est-ce c’est ?Pourquoi faut-il se débarrasser de cette image de gentil garçon ?Techniques et astuces pour en finir avec le syndrome du canard !Commencez votre relation en douceurLimitez les attentions doucesVoyez d’autres filles !Prenez la mesure de son implicationCanard VS Connard trouvez le juste milieu Syndrome du canard mais qu’est-ce c’est ? Vous avez certainement un pote qui, lorsqu’il est célibataire, fait le malin et aime parler de filles, de sexe, et jouer à l’homme viril. Mais dès qu’il se met en couple, il change du tout au tout ! Il répond au téléphone de façon mielleuse avec des Oui mon cœur…, il ne passe plus de soirée entre copains sous prétexte que sa dulcinée l’attend à la maison, il préfère les après-midi shopping aux soirées jeux vidéo… Bref, il se transforme en canard ! Ce comportement, que l’on définit comme le syndrome du canard, est valable autant pour un homme déjà en couple que pour un mec qui drague. Dans ce dernier cas, notre célibataire va complimenter sa cible à tout va, il va accéder à toutes ses requêtes et tous ses caprices, il se prêtera à toutes les activités qu’elle veut sans affirmer ses envies et s’excusera dès qu’il a un geste ou une parole jugée déplacée par sa potentielle copine. Pour simplifier la chose au maximum, il aura ce rôle de gentil garçon, de brave type, voire de toutou dans les cas extrêmes. Entre hommes, on parlera de canard ou de sans-burnes quand les femmes préféreront appeler ce genre d’hommes des bonnes pâtes. Le problème ? C’est une très mauvaise technique pour séduire une femme et pour la garder ! Pourquoi faut-il se débarrasser de cette image de gentil garçon ? Souffrir du syndrome du canard quand on drague peut avoir des conséquences terribles. Une femme mal intentionnée pourra vous mener en bateau des mois durant, sans que vous ne preniez la mesure de la supercherie. Le canard va continuer à la couvrir de cadeaux, à l’inviter à tous les restaurants et toutes les séances de ciné qu’elle désire, et sera ce compagnon parfait. A quel prix ? Celui de votre liberté ! Devenir fou amoureux vous rend aveugle ! Il est bon de garder une part de romantisme, bien sûr, mais changer son comportement de manière radicale en oubliant l’homme que vous êtes est mauvais. D’une part, les filles finissent par se lasser de cette attitude, car elles s’ennuient si elles n’ont personne avec qui se confronter. A long terme, votre copine risque d’aller voir ailleurs, et de tomber dans les bras d’un homme qui s’assume. D’autre part, ce comportement vous éloigne de vos potes et de vos proches, car la fille qui vous idolâtrez représentera toute votre vie et occupera celle-ci en permanence. Là aussi, les conséquences sur le long terme peuvent être désastreuses. Enfin, et ce n’est pas négligeable, vous pourriez avoir du mal à draguer si vous adoptez cette attitude de canard découvrez nos sujets de conservation avec une fille. Trop bon, trop con, dit l’adage, et à jouer les gentils garçons vous risquez de tomber dans la friendzone plus vite que prévu ! Techniques et astuces pour en finir avec le syndrome du canard ! Pour ne pas souffrir de ce syndrome du canard, il est important de se fixer quelques règles, qui vous permettront de ne pas foncer tête baissée dans une relation de ce type. Pour le bien-être de votre relation et pour votre propre estime, on vous recommande d’appliquer ces conseils anti-syndrome du canard ! Commencez votre relation en douceur Si dès le départ, vous êtes à 100%, que restera-t-il pour la suite ? D’ailleurs, si vous débutez votre nouvelle relation sur les chapeaux de roue, vous risqueriez de vivre une passion forte mais éphémère, car une fois que vous aurez épuisé les techniques qui font de vous ce gentleman et ce prince charmant qu’elle aime tant, vous redeviendrez un homme banal et serviable dont elle profitera. Il est donc judicieux de ménager un peu vos ardeurs, en accordant à cette fille une place dans votre vie, mais sans que cela ne se fasse au détriment de votre propre bien-être. Continuez les activités juste pour vous, voyez vos amis sans elle, accordez-vous du temps pour construire cette relation petit à petit sur une base solide, sans que cela n’aille que dans un sens le sien !. Limitez les attentions douces A trop vouloir la couvrir de cadeaux et de douces attentions, vous l’habituerez au top et elle pensera que tout lui est dû. Sachez que les compliments doivent rester occasionnels, pour que chacun d’entre eux fasse mouche. De la même manière, un cadeau ou une invitation doit marquer les esprits, pour devenir un geste automatique que vous serez obligé de faire par la suite. Sinon, elle vous reprochera de ne pas être aussi attentionné qu’au début… ! Voyez d’autres filles ! Pour garder votre virilité et votre confiance ne vous, ne cessez surtout pas de fréquenter d’autres filles ! Il peut s’agir d’amies qui vous aideront à ne pas sacraliser votre nouvelle copine, voir d’autres potentielles cibles que vous draguerez, au cas où cette nouvelle relation ne soit pas aussi durable que vous ne l’imaginez. En cas de pépin, vous n’aurez pas perdu votre aptitude à séduire et vous ne vous retrouverez pas la queue entre les jambes, démoralisé, comme c’est trop souvent le cas chez les hommes souffrant du syndrome du canard après une rupture. Prenez la mesure de son implication Et si elle n’était pas si impliquée dans la relation que vous ne le pensiez ? Et si elle profitait de votre gentillesse et de votre bienveillance en attendant de trouver le vrai homme qu’elle désire ? Il est toujours bon de remettre en cause l’attitude de l’autre dans une relation, alors soyez attentif aux détails et vérifiez que vous n’êtes pas le seul à faire vivre cette histoire ! Canard VS Connard trouvez le juste milieu Terminons avec une comparaison qui a son importance celle entre le syndrome du canard et le syndrome du connard ! Si le premier définit un homme trop gentil, bien brave et totalement soumis – ce qui lassera les filles assez vite – le syndrome du connard pourrait être l’inverse absolu. Un mec trop sûr de lui, macho, bad boy méchant. Beaucoup pensent que c’est ce qui plaît aux femmes… Pourtant, cette attitude d’homme qui joue sur sa virilité ne va pas séduire les filles autant qu’on le pense. Mais que veulent-elles alors ? Et bien un mix parfait entre le gendre idéal et le mec qui assume ses envies, ses besoins, et qui prend des initiatives pouvant aller à contre-courant de ce qu’elle pense. A vous de bien calibrer votre comportement pour rendre les filles accrocs !
Marre D’être Trop Gentille ? Changez De Comportement Et Évitez Les Déceptions Beaucoup de comportements que nous pensons être gentils proviennent souvent de la peur, de l’obligation ou de la culpabilité. Si vous êtes là, car vous … Read More about Marre D’être Trop Gentille ? Changez De Comportement Et Évitez Les Déceptions
Mis à jour le 19 avril 2022 à 16h30 © iStock S’affirmer, on essaie depuis vingt ans. Et s’il suffisait d’ouvrir le réédition du best-seller Cessez d’être gentil, soyez vrai ! » pour trouver la bonne méthode ? C’est ce qu’on a fait. On vous dit tout ! Par Caroline Michel La communication non violente a été et continue d’être pour moi un guide éclairant et rassurant dans la transformation que j’ai entreprise », prévient le psychothérapeute Thomas d’Ansembourg dans la réédition de Cessez d’être gentil, soyez vrai ! » éd. de l’Homme, ouvrage paru il y a plus de vingt ans, traduit en vingt langues et vendu à un million d’exemplaires en France. Le propos est simple avec les autres, nous ramons. Nous leur en voulons de ne pas nous écouter, nous ne parvenons pas à leur dire les choses », et souvent, nous nous considérons comme trop gentilles. Notre rêve, donc, développer des échanges authentiques et ne plus jouer la good girl », cette fille qui dit oui quand elle pense non et met ses désirs, voire sa personnalité entre parenthèses pour éviter de vexer son prochain, ou qui, à l’inverse, se transforme en bad girl » par souci de rébellion. Où se situe l’entre deux ? Avis à toutes celles qui sont en quête d’affirmation, nous avons dévoré ce guide pratique qui a contribué à faire connaître la CNV – pour communication non violente – créée par le psychologue américain Marshall Rosenberg dans les années 1960. Nous en avons tiré un enseignement, ou disons quatre étapes pour parvenir, enfin, à communiquer vrai » et ne plus se laisser bouffer. Ces quatre points sont, selon Thomas d’Ansembourg, un nouvel art de vivre, et la très bonne nouvelle en passant, c’est qu’ils ne sont pas seulement utiles à l’affirmation de soi. La CNV est un outil de connaissance de soi qui nous permet d’apprendre à nous réaligner petit à petit sur notre élan de vie propre et de développer un enjeu fondamental du vivre ensemble qui s’appelle l’empathie écouter l’autre dans ce qu’il vit derrière ce qu’il dit, afin d’arriver, au-delà du "je" et du "tu", à retrouver le sens du "nous" », développe l’auteur. On en conviendra c’est beau. Donc c’est parti pour les quatre étapes capables de nous aider à nous affirmer, tandis qu’on gardera dans un coin de la tête que mieux communiquer nous rendra bonnement plus heureuse au 1 l’observationSelon le sage contemporain Krishnamurti, cité par Thomas d’Ansembourg, distinguer l’observation d’un fait de son interprétation est l’un des stades les plus élevés de l’intelligence humaine ». Alors on ne vise peut-être pas des sommets d’intelligence – restons sur Terre – mais commençons peut-être par observer » le monde, ou du moins une situation, sans l’interpréter. C’est là la première clé de l’affirmation de soi par la CNV. Concrètement, ça veut dire qu’il nous faut éviter de tirer des conclusions hâtives, chose que nous faisons aisément. Si un ami ne nous répond pas au téléphone, pourquoi penser qu’il nous en veut ou nous évite ? Restons factuelle il ne répond pas. Cette attitude nous permet de garder une juste distance, de ne pas tomber dans le jugement quel malpoli et dans la plainte personne ne m’aime, plainte qui se transforme ensuite en croyance de toute façon, personne ne m’aimera jamais. Ne pas tomber dans le piège de l’interprétation nous permet également de ne pas agresser l’autre réponds, andouille et de ne pas brûler toute notre énergie à gamberger ou nous énerver. Nous pourrons alors ouvrir une conversation beaucoup plus responsable », conversation qui nous conduira plus aisément à une chouette 2 les sentimentsUne fois ce réflexe acquis, bien que difficile à intégrer mais tout est question d’entraînement, place aux sentiments. On se demande alors ce que l’on ressent. Par exemple, donc, face à cet ami qui ne répond pas, il se peut que l’on se sente déçue ou inquiète. Cette étape est primordiale pour parvenir, ensuite, à discuter avec la personne en question sans se mettre de côté et nier ses propres émotions ou, encore une fois, sans l’agresser ou entrer en conflit. Bien entendu, ce n’est pas parce que nous avons préalablement observé la situation avec le plus de neutralité possible que nos sentiments s’en trouvent refoulés. Au contraire, nous identifions nos sentiments tout en laissant une place à la réalité et à la vision que l’autre a de cette situation, si bien que quand nous entrerons en conversation et qu’il sera pour nous l’heure de nous affirmer, la discussion sera intelligente. Mais bon, là, on se répète. Passons plutôt à l’étape 3 le besoinOK, désormais vous savez ce que vous ressentez de la déception, de la peur, de l’angoisse, de la joie qui sait, de l’appréhension, et ainsi de suite. Et vos sentiments cachent un besoin. Si je me sens inquiète, c’est que j’ai besoin d’être rassurée, par exemple. Si je me sens impuissante face à quelqu’un qui fait la tronche autre exemple, mon besoin est de savoir » et d’aider cette personne. Un autre exemple pour la route, présenté dans l’ouvrage votre partenaire laisse la maison sens dessus dessous. Observation La maison n’est pas rangée » neutralité, vous voyez. Sentiments je suis irritée et découragée, je passe un temps fou à mettre de l’ordre et voilà le travail. Besoin j’aimerais davantage de respect et de reconnaissance. Et ici, bien sûr, on parle évidemment d’un besoin personnel, et non pas d’un besoin qui dépend uniquement de l’autre j’ai besoin d’être rassurée, ce n’est pas exactement la même chose que j’ai besoin que tu me rassures ». Quand on a besoin d’être rassurée sans attendre de l’autre qu’il fasse tout le job, on prend davantage le temps de s’écouter soi, ce qui nous pousse alors à mieux nous exprimer par la 4 la demandeUne fois que l’on cerne nos besoins, on a tout fait, ou presque. Il reste à poser notre demande. Dans le cas de la maison retournée, la demande est J’aimerais que tu m’aides à ranger ». Peut-être que ça peut paraître évident, mais regardons un peu. Sans les étapes précédentes, nous aurions lancé un Tu en fous toujours partout ! », ce qui n’aurait pas arrangé nos affaires. Maintenant, revenons au cas de cet ami qui ne répond toujours pas nous pouvons l’appeler et lui partager notre inquiétude. Car l’objectif, c’est bien de lui parler de nous. Nous sommes déçue et nous vivons mal son silence. C’est mieux que de le fustiger espèce d’andouille silencieuse. Ce que nous communiquons après ces quatre étapes est donc beaucoup plus audible pour l’autre et la bonne nouvelle, c’est que nous n’avons pas besoin de chercher nos mots cent ans ou de les ignorer en nous ignorant. Les choses sont de l’affirmation de soi face à une personne en retardEn guise de conclusion, prenons un nouvel exemple, celui de l’ami toujours en retard. Et face à ce retard, généralement, vous vous laissez faire c’est pas grave, tu sais…, sauf qu’en réalité, vous en avez marre et vous vous sentez prise pour une imbécile. Alors voyons - Observation il est en retard. Il a seize minutes de retard. Point. - Sentiments je suis fâchée, agacée. - Besoin j’ai besoin d’être rassurée car j’aimerais pouvoir compter sur cette personne. J’ai besoin de pouvoir compter sur cette Demande est-ce que ça te dit qu’on en parle ? Parce que l’objectif, là, c’est bien d’en parler pour que ça ne se reproduise plus, ou moins, ou sans que vous vous sentiez victime ». Et on en parle toujours avec ces quatre étapes dans la tête qui nous permettent de ne pas tomber dans le ce n’est pas grave » habituel ou le tu es vraiment chiant » violence, catastrophe.
Bon, je ne suis pas du genre à pousser des coups de gueule sur le blog. En fait, je ne le fais jamais. J’ai toujours veillé à être respectueuse vis à vis des autres et, surtout, à ne jamais faire de vague. De peur, peut-être, de me retrouver engloutie dedans… Il y a certainement une certaine trouille à me taire ainsi. Mais pas seulement. Comme dit plus haut, c’est vraiment le respect qui m’a empêchée, bien souvent, de dire les choses comme je les ressentais. Mais vous savez quoi ? J’en ai marre ! Ouais, ce soir, j’en ai marre et ça me pèse. De la déception et une sorte de colère cohabitent dans mon cœur. Le mélange est si fort qu’il me donne même envie de jeter l’éponge. Parfois ça me décourage… Et ce soir c’est particulièrement fort et présent. Je me suis toujours battue contre l’injustice qui, malheureusement, a souvent été tournée vers moi quand j’étais gamine, quand j’étais ado… On s’est beaucoup moqué de moi trop gentille, trop timide, trop muette… et on m’a beaucoup blessée aussi. Aujourd’hui, parfois souvent même…, je retrouve ce sentiment de rejet et d’ignorance qui pesait sur moi. Soit on me montrait de l’hostilité, soit on m’ignorait complètement, me donnant l’impression de n’être rien, qu’une anecdote,… inexistante. Bref, ce que je veux dire, c’est que, bien souvent, j’ai à nouveau l’impression de n’être rien aux yeux de certains de beaucoup, d’être transparente, limite inexistante… Et ce, malgré les efforts que je fais chaque jour. Parce que, oui, aujourd’hui, je me bouge. Contrairement à avant, où je me contentais de subir. Vous vous demandez sans doute où je veux en venir ou, si ça se trouve, vous ne vous le demandez pas du tout… Depuis le début du mois de décembre, c’est la folie. Chaque jour, je vous propose un nouveau cadeau à remporter sur ma page Facebook. Des commentaires, j’en ai à tour de bras. Forcément, à la clé, il y a l’éventualité de gagner un truc. Je me suis décarcassée pour vous proposer tous ces lots. Parce que c’est un sacré boulot d’organiser des jeux comme ceux là. Il y a la mise en ligne, la préparation du visuel et puis aussi la désignation du gagnant. Mais avant il y a les négociations avec les marques… Et il faut gérer aussi le service après concours le SAC si vous voulez !. Envoyer les coordonnées des gagnants. Courir après ceux qui tardent à laisser leur adresse e-mail ou qui ne lisent pas bien ce qu’on leur a demandé au départ adresse postale, mail…. J’ai passé un temps de fou là dessus et ça va encore continuer jusqu’à Noël. Très sincèrement, je suis contente de vous permettre de gagner des trucs. C’est chouette mine de rien… Mais, au fond, je ne rencontre que très rarement de la gratitude. Pour certaines gagnantes, j’ai l’impression que c’est limite un dû et que je suis juste une machine à qui on donne des coordonnées postales pour recevoir un cadeau. Quand on me dit merci », vous n’imaginez pas à quel point ça me fait plaisir… C’est pourtant un acte qui devrait être automatique, normal et qui se révèle finalement si rare ! C’est con, non ?! Du coup, bah, parfois, je ressens une certaine lassitude. Je me demande à quoi ça sert de se décarcasser pour si peu »… Car vous savez, bien souvent, pour organiser ces jeux, je n’ai rien reçu en contrepartie. Le pire dans tout ça c’est que je ressens trop l’intérêt des participants. Moi je suis une grande idiote romantique qui s’imagine toujours que je vais tisser des liens de dingue avec des lectrices. Finalement, je crois que celles qui me suivent vraiment peuvent se compter sur les doigts des deux mains… Enfin, je parle de celles qui m’écrivent régulièrement des commentaires que ce soit sur Facebook ou sur le blog. Car côté commentaires, c’est le grand désert. C’est de plus en plus décourageant. Alors, je me dis que ce que j’écris devient vraiment nul et sans intérêt. Plus le temps passe et moins j’ai de commentaires sur le blogs. Pourtant j’ai fait des efforts pour vous faciliter la tâche en intégrant un nouveau module permettant de commenter via votre connexion Facebook. Ça vous évite de vous identifier à chaque fois, le truc relou. Avec ça, j’ai conservé le formulaire natif du blog pour ceux qui préfèrent la vieille » méthode. Mais bon, pour être franche, ça n’a pas changé grand chose. Aujourd’hui je me pose mille questions. Je me demande si je vous intéresse vraiment ou si je suis redevenue transparente comme durant mon adolescence. Peut-être que je n’aborde pas les bons sujets… Ou, si ça se trouve, je suis simplement à côté de la plaque. Dois-je continuer comme je le fais maintenant ou tout changer radicalement ? Ou, pire faire carrément le choix de tout cesser ! Les chiffres sont pourtant là pour me rassurer et me prouver que je me pose sans doute des questions pour rien. Mais, crotte, pourquoi vous êtes si peu à me dire ce que vous pensez de ce que j’écris ? Pour diversifier mon univers, j’ai créé et commencé à alimenter une chaîne Youtube Le temps passé à monter mes vidéos, certes imparfaites, est quand même assez important. Est-ce du temps perdu ? Est-ce que ça vaut le coup sincèrement ? C’est beaucoup d’énergie tout ça. Je ne compte même pas le temps passé à répondre aux nombreux mails que je reçois et encore moins ce temps considérable que je passe à organiser mon planning éditorial… Parce que là, en décembre, j’ai été tellement sollicitée de partout que j’ai eu bien du mal à tout faire entrer sur ce fichu planning. J’ai même été obligée de vous proposer deux articles par jour parfois alors que je déteste ça, pour tenir les délais. Le pire dans tout ça, c’est que j’ai l’impression que ça ne sert à rien. Je me suis mise la pression toute seule pour vous proposer du contenu que je pensais intéressant pour vous, pour zéro réaction ou presque. Et, avec le recul, je regrette d’avoir écrit ces articles… Là, tout de suite, je me dis que j’en ai marre d’œuvrer pour les autres en m’imaginant apporter des infos intéressantes… qui ne les intéresse pas en réalité. Je dis ça mais je pense que je suis un peu comme ma mère… Ce besoin de passer des messages qui sont comme des coups d’épée dans l’eau… il ferait mieux de nous passer ! Même si certains contenus sont clairement sponsorisés » je préfère en parler car je sais qu’on risque de me mettre ce sujet sous le nez, je n’accepte de vous parler que de sujets qui me semblent pertinents pour vous. Bien évidemment, je suis rémunérée pour ça mais les mots restent toujours les miens et je veille à ne jamais écrire des choses qui ne correspondent pas à mes principes. J’ai, maintes fois, refusé des contrats parce que les propos que je devais relayer allaient à l’encontre de mes idées. Et puis, clairement, certains étaient tellement éloignés de ma ligne éditoriale que je me suis demandée comment ils avaient pu avoir l’idée de me contacter, moi ! Je fini par croire que l’on a d’intérêt que pour la mode / beauté, pour les tout petits bébés… ou les concours ben ouais !. Le reste n’a sans doute aucun intérêt… Bref, parfois, je me demande si je ne fais pas tout ça pour rien… Je devrais peut-être cesser de me triturer le cerveau à tenter de vous parler de trucs qui pourraient vous intéresser et qui, en réalité, vous passe au dessus du cigare. L’effort de commentaire n’est-il valable que lorsqu’il y a un cadeau à la clé ? Commentaires Commentaires
Je prête de la thune à chaque fois qu'on me demande et on me rend jamais rien + Limite c'est moi qui fait chier quand je demande qu'on me RE RENDE ce que j'ai prêté Encore prêté 500 € à un pote pour qu'il s'achète un ordi, ça fait plus de 6 mois je lui demande et il me dit à chaque fois bientôt Voire même il a dit que ça le soulait que je lui demande à chaque fois de me rendre Et c'est pas le premier Même pour des petites sommes, genre 50 balles on me les rend même pas Genre là c'est moi qui LE FAIT CHIER en lui demandant de me rendre Personne répond Tu me prêter 300 balles stp ?Après je te donne un conseil. Message édité le 22 mars 2021 à 152720 par Anti-Pucixx Le 22 mars 2021 à 152701 Anti-Pucixx a écrit Tu me prêter 300 balles stp ?Après je te donne un drôle je te conseille de commencer par changer de pseudo Il faut rien prêter a ces potes, les bons comptes font les bons amis Le 22 mars 2021 à 152811 Pucix123 a écrit up Le 22 mars 2021 à 152851 SunWukong888 a écrit Il faut rien prêter a ces potes, les bons comptes font les bons amisJe sais pas dire non, d'ou le titre du topic 500 euros... faut arrêter là la gentillesseTu prêtes rien à personne, sauf à tes parents Et si tu dois être gentil ça doit être avec des personnes gentilles, comme toi il faut que tu sentes de la réciprocitéTu fais ça t'auras plus jamais de problèmes... Arrête de te faire marcher dessus. Si tu pretes 500 a un "pote" et que ça le fais quand tu luu demande cest que cest pas ton poteRaille lui sa voiture, bouche ses serrures avec du ciement etc... L'op tu peux me prêter 50 euros stp? PROMIS je te les rends Le 22 mars 2021 à 152947 dentslongues a écrit Si tu pretes 500 a un "pote" et que ça le fais quand tu luu demande cest que cest pas ton poteRaille lui sa voiture, bouche ses serrures avec du ciement etc...Ouais là en gros il m'a dit que c'est moi qui l'emmerde à demander à ce qu'il me rende ce que je lui ai avancé Le 22 mars 2021 à 152918 goliuye a écrit 500 euros... faut arrêter là la gentillesseTu prêtes rien à personne, sauf à tes parents Et si tu dois être gentil ça doit être avec des personnes gentilles, comme toi il faut que tu sentes de la réciprocitéTu fais ça t'auras plus jamais de problèmes... Arrête de te faire marcher suis trop gentil voilà ou ça me mène à chaque fois Le 22 mars 2021 à 152409 Pucix123 a écrit Et c'est pas le premier Même pour des petites sommes, genre 50 balles on me les rend même pas"50 balles" "petites sommes" Y'a que moi qui trouve ça beaucoup à prêter 50 euros ? Le 22 mars 2021 à 153144 HappyAubrey a écrit Le 22 mars 2021 à 152409 Pucix123 a écrit Et c'est pas le premier Même pour des petites sommes, genre 50 balles on me les rend même pas"50 balles" "petites sommes" Y'a que moi qui trouve ça beaucoup à prêter 50 euros ? Bah je sais pas c'est pour dépanner la personne mais après pour qu'elle me rende c'est une autre histoire T'es juste un zeta, prête rien si t'es pas prêt à donner la dite chaque fois demande toi si tu serais prêt à lui donner la somme en question et si ce n'est pas le cas tu ne donnes rien. Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
deception comportement marre d être trop gentille