Fnac: Histoires de fantĂ´mes, Et parfois ils reviennent, Collectif, Maurizio A. C. Quarello, Sarbacane". Livraison chez vous ou en magasin et - 5%
Enrôléde force, il assiste à une horrible bataille, déserte et passe en Hollande. Il y retrouve Pangloss rongé d’une affreuse maladie, la vérole, et apprend que tous les habitants du château ont été massacrés. Recueillis par un bon anabaptiste, ils arrivent à Lisbonne juste au moment du terrible tremblement de terre. Hélas leur navire fait naufrage, et leur
Cetouvrage contient le fantôme de Canterville d'Oscar Wilde ainsi que d'autres contes tels que L'ami dévoué, Le prince heureux, Le rossignol et la Rose et Le géant égoiste. Résumé: Le Fantôme de Canterville met en scène un fantôme nommé Sir Simon et un ministre américain, Mr Otis, accompagné de sa famille. À l'arrivée de ces derniers, Lord
LeFantôme de Canterville parle d'un fantôme nommé sir Simon et un ministre américain, M. Otis, accompagné de sa famille. À l'arrivée de ces derniers, Lord Canterville, l'ancien propriétaire des lieux, prévient M. Otis et sa famille que le fantôme de sir Simon hante le château depuis que ce dernier a tué sa femme Eleanore voilà quelques siècles.
Unfantôme est une apparition, une vision ou une illusion, interprétée comme une manifestation surnaturelle d'une personne décédée.. Les fantômes sont également appelés revenants, spectres ou, plus rarement, ombres [1].Toutefois les termes ne sont pas rigoureusement synonymes : un revenant est l'apparition d'un mort connu, dans une
CbuUhD. Le fantôme qui hante le manoir de Canterville depuis trois siècles est désespéré! Les nouveaux propriétaires, deriches américains, ne croient pas aux esprits. Vexé, le pauvre fantôme agite ses chaînes et laisse même une trace de sang dans le salon. Parviendra-t-il à prouver son existence en semant la terreur? Biographie d'Oscar Wilde Oscar Wilde est né à Dublin, en Irlande. Son père est chirurgien, sa mère est poétesse et traductrice d'auteurs français Dumas et Lamartine. Il fait ses études au Trinity College de Dublin puis à Oxford, en Angleterre. Grâce à son élégance et à sa vivacité d'esprit, il devient vite un auteur très apprécié en Grande-Bretagne, mais aussi en France où il est salué par les milieux littéraires. Ses poésies, ses contes, ses histoires, son roman Le Portrait de Dorian Gray » et ses pièces de théâtre - dont l'une "Salomé" est écrite en français, est créée par Sarah Bernhardt - assurent son succès. Il est alors reconnu comme le chef de file de ce que l'on a appelé le culte esthétique » extrême raffinement, amour exclusif des belles choses, attitude détachée. Mais sa vie bascule en 1895 ; lorsqu'il est condamné à deux ans de travaux forcés dans une Angleterre victorienne très puritaine. Refusant de fuir, il purge sa peine et sort brisé du bagne. Il est désormais un homme ruiné, exclu de la société. Il finit misérablement sa vie à Paris où il meurt le 30 novembre 1900, à 46 ans d'une méningite. Ses derniers mots, dans une chambre d'hôtel au décor miteux hôtel d'Alsace, 13, rue des Beaux-Arts à Paris auraient été "Ou c'est ce papier peint qui disparaît, ou c'est moi."
La tempête se déchaîna pendant toute la nuit, mais il ne se produisit rien de remarquable. Le lendemain, quand on descendit pour déjeuner, on retrouva sur le parquet la terrible tache. — Je ne crois pas que ce soit la faute du Nettoyeur sans rival, dit Washington, car je l'ai essayé sur toute sorte de tache. Ça doit être le fantôme. En conséquence, il effaça la tache par quelques frottements. Le surlendemain, elle avait reparu. Et pourtant la bibliothèque avait été fermée à clef, et Mrs Otis avait emporté la clef en haut. Dès lors, la famille commença à s'intéresser à la chose. M. Otis était sur le point de croire qu'il avait été trop dogmatique en niant l'existence des fantômes. Mrs Otis exprima l'intention de s'affilier à la Société Psychique, et Washington prépara une longue lettre à MM. Myers et Podmore, au sujet de la persistance des taches de sang quand elles résultent d'un crime. Cette nuit-là leva tous les doutes sur l'existence objective des fantômes. La journée avait été chaude et ensoleillée. La famille profita de la fraîcheur de la soirée pour faire une promenade en voiture. On ne rentra qu'à neuf heures, et on prit un léger repas. La conversation ne porta nullement sur les fantômes, de sorte qu'il manquait même les conditions les plus élémentaires d'attente et de réceptivité qui précèdent si souvent les phénomènes psychiques. Les sujets qu'on discuta, ainsi que je l'ai appris plus tard de M. Otis, furent simplement ceux qui alimentent la conversation des Américains cultivés, qui appartiennent aux classes supérieures, par exemple l'immense supériorité de miss Janny Davenport sur Sarah Bernhardt, comme actrice ; la difficulté de trouver du maïs vert, des galettes de sarrasin, de la polenta, même dans les meilleures maisons anglaises, l'importance de Boston dans l'expansion de l'âme universelle, les avantages du système qui consiste à enregistrer les bagages des voyageurs ; puis la douceur de l'accent new-yorkais, comparé au ton traînant de Londres. Il ne fut aucunement question de surnaturel. On ne fit pas la moindre allusion, même indirecte à sir Simon de Canterville. À onze heures, la famille se retira. À onze et demie, toutes les lumières étaient éteintes. Quelques instants plus tard, M. Otis fut réveillé par un bruit singulier dans le corridor, en dehors de sa chambre. Cela ressemblait à un bruit de ferraille, et se rapprochait de plus en plus. Il se leva aussitôt, fit flamber une allumette, et regarda l'heure. Il était une heure juste. M. Otis était tout à fait calme. Il se tâta le pouls, et ne le trouva pas du tout agité. Le bruit singulier continuait, en même temps que se faisait entendre distinctement un bruit de pas. M. Otis mit ses pantoufles, prit dans son nécessaire de toilette une petite fiole allongée et ouvrit la porte. Il aperçut juste devant lui, dans le pâle clair de lune, un vieil homme d'aspect terrible. Les yeux paraissaient comme des charbons rouges. Une longue chevelure grise tombait en mèches agglomérées sur ses épaules. Ses vêtements, d'une coupe antique, étaient salis, déchirés. De ses poignets et de ses chevilles pendaient de lourdes chaînes et des entraves rouillées. — Mon cher Monsieur, dit M. Otis, permettez-moi de vous prier instamment d'huiler ces chaînes. Je vous ai apporté tout exprès une petite bouteille du Graisseur de Tammany-Soleil-Levant. On dit qu'une seule application est très efficace, et sur l'enveloppe il y a plusieurs certificats des plus éminents théologiens de chez nous qui en font foi. Je vais la laisser ici pour vous à côté des bougeoirs, et je me ferai un plaisir de vous en procurer davantage, si vous le désirez. Sur ces mots, le ministre des États-unis posa la fiole sur une table de marbre, ferma la porte, et se remit au lit. Pendant quelques instants, le fantôme de Canterville resta immobile d'indignation. Puis lançant rageusement la fiole sur le parquet ciré, il s'enfuit à travers le corridor, en poussant des grondements caverneux, et émettant une singulière lueur verte. Néanmoins comme il arrivait au grand escalier de chêne, une porte s'ouvrit soudain. Deux petites silhouettes drapées de blanc se montrèrent, et un lourd oreiller lui frôla la tête. Évidemment, il n'y avait pas de temps à perdre, aussi, utilisant comme moyen de fuite la quatrième dimension de l'espace, il s'évanouit à travers le badigeon, et la maison reprit sa tranquillité. Parvenu dans un petit réduit secret de l'aile gauche, il s'adossa à un rayon de lune pour reprendre haleine, et se mit à réfléchir pour se rendre compte de sa situation. Jamais dans une brillante carrière qui avait duré trois cents ans de suite, il n'avait été insulté aussi grossièrement. Il se rappela la duchesse douairière qu'il avait jetée dans une crise d'épouvante pendant qu'elle se contemplait, couverte de dentelles et de diamants devant la glace ; les quatre bonnes, qu'il avait affolées en des convulsions hystériques, rien qu'en leur faisant des grimaces entre les rideaux d'une des chambres d'amis ; le recteur de la paroisse dont il avait soufflé la bougie, pendant qu'il revenait de la bibliothèque, à une heure avancée et qui depuis était devenu un client assidu de sir William Gull, et un martyr de tous les genres de désordres nerveux ; la vieille madame de Trémouillac, qui se réveillant de bonne heure, avait vu dans le fauteuil, près du feu, un squelette occupé à lire le journal qu'elle rédigeait ; et avait été condamnée à garder le lit pendant six mois par une attaque de fièvre cérébrale. Une fois remise, elle s'était réconciliée avec l'Église, et avait rompu toutes relations avec ce sceptique avéré, M. de Voltaire. Il se rappela aussi la nuit terrible où ce coquin de lord Canterville avait été trouvé râlant dans son cabinet de toilette, le valet de pique enfoncé dans sa gorge, et avait avoué qu'au moyen de cette même carte, il avait filouté à Charles Fox, chez Crockford, la somme de 10, 000 livres. Il jurait que le fantôme lui avait fait avaler cette carte. Tous ses grands exploits lui revenaient à la mémoire. Il vit défiler le sommelier qui s'était brûlé la cervelle pour avoir vu une main verte tambouriner sur la vitre ; et la belle lady Steelfield, qui était condamnée à porter au cou un collier de velours noir pour cacher la marque de cinq doigts imprimés comme du fer rouge sur sa peau blanche, et qui avait fini par se noyer dans le vivier au bout de l'Allée du Roi. Et tout plein de l'enthousiasme égotiste du véritable artiste, il passa en revue ses rôles les plus célèbres. Il s'adressa un sourire amer, en évoquant sa dernière apparition dans le rôle de Ruben le Rouge ou le nourrisson étranglé » son début dans celui de Gibéon le Vampire maigre de la lande de Bexley », et la furore qu'il avait excitée par une charmante soirée de juin, rien qu'en jouant aux quilles avec ses propres ossements sur la pelouse du lawn-tennis. Et tout cela pour aboutir à quoi ? De misérables Américains modernes venaient lui offrir le Graisseur à la marque du Soleil Levant ! et ils lui jetaient des oreillers à la tête ! C'était absolument intolérable. En outre, l'histoire nous apprend que jamais fantôme ne fut traité de cette façon. La conclusion qu'il en tira, c'est qu'il devait prendre sa revanche, et il resta jusqu'au lever du jour dans une attitude de profonde méditation.
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ÉditeurHACHETTE JEUNESSELanguage FrenchParution2007FormatBookPages61ISBN-102012259529ISBN-139782012259522 Unit Price $ 0 LBP Hors StockInfos TechniquesÉditeurHACHETTE JEUNESSELanguage FrenchParution2007FormatBookPages61ISBN-102012259529ISBN-139782012259522 Unit Price $ 0 LBP Hors StockRésumé Le fantôme de Simon de Canterville fait de son mieux pour terroriser une famille américaine récemment installée dans un manoir anglais. Mais la famille Otis n'est nullement effrayée par le spectre, ni par les squelettes, ni par les bruits de chaînes la nuit, ni par les éclats de rire sataniques, bien au contraire ! De quoi devenir fou pour un fantôme qui tient à sa réputation. Seule Virginia Otis, émue par le sort du fantôme de Canterville, cherchera à le délivrer de la malédiction qui pèse sur lui et sur le manoir des Canterville.
Le Crime de Lord Arthur Savile Couverture de 1891 d'un recueil de nouvelles où figure Le Crime de Lord Arthur Savile. Publication Auteur Oscar Wilde Titre d'origine Lord Arthur Savile's Crime Langue Anglais Parution 1887 dans The Court and Society Review Intrigue Genre satire Le Crime de Lord Arthur Savile est le titre d’une nouvelle de l’écrivain irlandais Oscar Wilde. Parue pour la première fois en 1887, l’œuvre est une satire de la noblesse victorienne. La nouvelle, avec d'autres textes, a été reprise dans un recueil en 1891. En anglais, le texte donne son titre au recueil qui s'intitule en français Le Fantôme de Canterville et autres nouvelles. Résumé Le personnage principal de ce roman, Lord Arthur Savile, est présenté, à l'occasion d'une soirée donnée par Lady Windermere, à un chiromancien, Septimus R. Podgers. Ce dernier lit dans la paume de la main de Lord Arthur, un funèbre destin. On apprend au chapitre suivant qu'il s'agit d'un crime et par diverses circonstances, Lord Arthur croit comprendre qu'il sera l'auteur d'un crime. Alors qu'il voulait se marier avec Sybil Merton, sa fiancée, il décide qu'il n'a pas le droit de le faire avant d'avoir commis ce meurtre. Sa première tentative porte sur une tante âgée, Lady Clementina Beauchamps, qui souffre de brûlures d'estomac. Arthur lui donne une capsule empoisonnée à l'aconitine, qu'il présente comme un remède américain d'un nouveau genre, à prendre en cas de crise. Recevant un télégramme quelques semaines plus tard, il apprend sa mort et retourne victorieusement à Londres, pour apprendre qu'elle lui a légué une propriété. En triant les affaires de sa tante, Sybil trouve la pilule de poison, intacte ; ainsi, Lady Clem, sa tante est morte de manière naturelle et lui se trouve dans le besoin d'une nouvelle victime. Après réflexion, il contacte un ami anarchiste, qui lui procure une bombe dissimulée dans une pendule. Arthur l'envoie anonymement à un parent éloigné, le Doyen de Chichester. Malheureusement l'engin se révélera défectueux, réjouissant la fille du Doyen qui passera ses après-midis à produire des explosions minuscules et inoffensives avec l'horloge. Désespéré, Lord Arthur croit ses plans de mariage condamnés quand il rencontre Podgers, en pleine nuit, au bord de la Tamise. Il précipite alors le chiromancien dans le fleuve du haut d'un parapet. Quelques jours plus tard un journal annonce le suicide, puisque tel a été le résultat de l'enquête, de sa victime. Assuré maintenant du succès de son entreprise, Lord Arthur peut enfin se marier ! Quelques années plus tard, en visite chez le couple, lady Windermere confie en aparté à Sybil que M. Podgers était un horrible et avide imposteur et qu'elle même n'avait jamais cru en la chiromancie. Lord Arthur reste, quant à lui, persuadé qu'il doit tout le bonheur de sa vie à la chiromancie. Notes Le nom de Lady Windermere est aussi utilisé dans la pièce de théâtre d'Oscar Wilde L’Éventail de Lady Windermere. La nouvelle a été rééditée par Gallimard Jeunesse Wilde Oscar, Le Fantôme de Canterville, suivi de Le Crime de lord Arthur Savile, illustrations de Yann Couvin, Éditions Gallimard Jeunesse, 2007. Adaptations Cinéma Sorti en mars 1922, Le Crime de Lord Arthur Savile, film muet du réalisateur français René Hervil, est la première adaptation de la nouvelle de Wilde. Le deuxième sketch du film américain Obsessions Flesh and Fantasy, réalisé par Julien Duvivier en 1943, avec Edward G. Robinson, est une adaptation très libre de la nouvelle d'Oscar Wilde. Télévision Le Crime du Lord Lord Arthur Savile's Crime, le 15e épisode de la série télévisée américaine Suspicion réalisé par Robert Stevens, joué par Ronald Howard, Rosemary Harris, Gladys Cooper et Sebastian Cabot, et diffusé à l'origine en janvier 1958, est une adaptation assez fidèle de la nouvelle. Le téléfilm Damoclès, réalisé par Manuel Schapira et diffusé par Arte en 2016, est librement adapté de la nouvelle[1]. Bande dessinée Adaptation en bande dessinée du Crime de Lord Arthur Savile d'Oscar Wilde, textes de Marc Salet et Philippe Nauher, dessins de Marc Salet, éd. Roymodus[2], coll. Tailler La Bavette », 2012 ISBN 978-2-36363-019-3. Références ↑ Nacer Boubekeur, Damoclès Manu Payet va commettre un meurtre dans l'adaptation moderne du Crime de Lord Arthur Savile », sur Toutelatele, 7 octobre 2016 consulté le 8 octobre 2016. ↑ Le Crime de Lord Savile », sur Portail de la littérature britannique Catégories Nouvelle d'Oscar WildeNouvelle parue en 1887Nouvelle adaptée en bande dessinéeNouvelle adaptée au cinémaNouvelle adaptée à la télévisionDernière mise à jour du contenu le 14/12/2021.
le fantôme de canterville résumé chapitre 2