Ilparait trés utile de signaler que la banque Wachovia a fait l'objet de plusieurs mise en examen puis d'amendes par les autorités financières et juridique américaines, pour sa participation active au blanchiment d'argent de la droque de cartels sud américains : voir le film [1] diffusé le 11 sept. 2012 par France 5 11 septembre 2012 à 22:11
Argentsale, le poison de la finance: documentaire: Fort Boyard: divertissement: Le Zap: divertissement: Grimm : les habits neufs de l’Empereur: fiction: Meurtres au paradis: série: Alice
Quela prostitution et le trafic d'êtres humains gérés par le crime organisé représentent 80 milliards de dollars de revenus n'est pas la statistique la plus glauque de l'édifiant documentaire qu'est Argent sale. C’est plutôt l’ensemble des sommes glanées par les mafias qui glace le dos. 700 milliards. En animaux, en contrefaçons
Le monde en face" Argent sale, le poison de la finance (TV Episode 2012) on IMDb: Plot summary, synopsis, and more Menu. Movies . Release Calendar DVD & Blu-ray Releases Top 250 Movies Most Popular Movies Browse Movies by Genre Top Box Office Showtimes & Tickets In Theaters Coming Soon Movie News India Movie Spotlight. TV Shows. What's
Cefilm est un voyage au royaume de l’argent sale. De la Calabre à Londres, de la Suisse à l’Allemagne, le réalisateur part sur les traces de cet argent que l’on ne voit pas
QP8l. Après Danske Bank, puis Nordea et Swedbank, le scandale de blanchiment d'argent dépasse la sphère scandinave et menace de toucher d'autres banques européennes. Mardi, plusieurs médias internationaux ont relayé des informations dans ce sens du Projet de reportage sur le crime organisé et la corruption OCCRP , un collectif de journalistes qui avait été à l'origine des Panama Papers ». En substance, l'OCCRP reproche à ces banques de s'être rendues complices entre 2006 et 2013 d'un vaste réseau de blanchiment d'argent russe d'origine douteuse baptisé Troika Laundromat », du nom des laveries automatiques. Comment marche le Laundromat » ?Le collectif OCCRP cite l'exemple d'un employé du bâtiment vivant entre l'Arménie et Moscou, Armen Ustyan. Comme d'autres, l'ouvrier saisonnier aurait servi de mandataire sans le savoir à des milliardaires russes cherchant à transférer leur argent vers l' aurait suivi toujours le même circuit. Première étape création de sociétés écrans avec l'aide de la banque d'investissement Troika Dialog. Deuxième étape transfert des fonds vers la banque lituanienne Ukio fermée en 2013 où ils sont mélangés à des fonds propres » d'autres clients. Troisième étape l'argent nettoyé arrive dans une banque d'Europe de l'Ouest, souvent sur le compte d'une société offshore appartenant au propriétaire russe du départ. Pour justifier les transferts et échapper aux radars des banques, ceux-ci seraient documentés par un négoce factice, portant par exemple sur un contrat d'ordinateurs. Que font les autorités pour contrer le blanchiment ?Etablies au niveau européen, les règles de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme LCB-FT peuvent être déclinées différemment dans les différents Etats de l'Union. Surtout, toutes les autorités nationales en charge ne se montreraient pas aussi fermes dans la mise en oeuvre des obligations. C'est vrai qu'il y a des différences et cela facilite éventuellement la recherche de failles », reconnaît un approches disparates mettent en lumière l'absence de gendarme financier unique dans le domaine de l'anti-blanchiment. Ce gendarme existe pourtant en matière de supervision prudentielle avec le mécanisme de surveillance unique, rattaché à la Banque centrale européenne BCE. Pour combler ce vide,la Commission européenne a appelé en septembre dernier à un renforcement des pouvoirs de l'Autorité Bancaire rôle serait de s'assurer que les différents superviseurs coopèrent et échangent des informations et que les règles en matière d'anti-blanchiment sont mises en oeuvre de façon homogène à travers les différents pays de l'Union européenne », a déclaré vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis. Que font les banques ? Depuis environ cinq ans, on observe un renforcement important des obligations qui incombent aux banques en matière de lutte contre le blanchiment et de financement du terrorisme », assure Thomas Rocafull, directeur Associé chez Sia Partners. Les réglementations européennes ont en effet été récemment mises à les banques ont l'obligation de bien connaître leurs clients la fameuse règle KYC, know your customer » afin de détecter les opérations suspectes et d'être particulièrement vigilantes vis-à-vis de personnes jugées politiquement exposées. En France, elles sont également contraintes de signaler les opérations qui pourraient relever du blanchiment de capitaux auprès de Tracfin, une cellule de renseignement financier rattachée à la difficulté pour les établissements, consiste à filtrer au quotidien des milliards de transactions pour faire ressortir celles qui seraient problématiques. C'est un véritable travail de fourmi », insiste Thomas Rocafull. Les banques ont énormément investi pour répondre à ces problématiques. On estime qu'à peu près 1,5 % à 2 % des effectifs des grands groupes bancaires sont dédiés au sujet de conformité, là où il y a quelques années on oscillait plutôt entre 1 % et 1,5 % », poursuit-il. Que risquent les établissements financiers ?Les risques pour les établissements financiers sont multiples et potentiellement mortels. L'année dernière, la banque lettone ABLV a dû être liquidée par les autorités européennes après la menace des Etats-Unis de lui interdire tout financement en dollars suite à des soupçons de blanchiment d'argent russe et ukrainien et de liens avec le régime nord-coréen. Sans en arriver là, les banques risquent aussi de lourdes sanctions. Elles redoutent particulièrement la sévérité des autorités américaines, mais peuvent aussi écoper d'amendes dans leur propre pays. C'est par exemple, le cas du néerlandais ING, qui a dû s'acquitter d'une facture de 775 millions d'euros. Les régulateurs veillent aussi à ce que les établissements respectent les règles. En France, les amendes infligées par le superviseur peuvent aller jusqu'à 100 millions d'euros, voire 10 % du chiffre d'affaires annuel net. Entre 2011 et 2017, l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution a ainsi prononcé 28 sanctions en matières de LCB-FT.
Arrêté près de Tours Indre-et-Loire, un chauffeur routier marocain a été mis en examen fin juillet, avant d’être écroué dans l’attente de la suite des investigations dans cette affaire d’importation de résine de cannabis. Les enquêteurs de la police judiciaire d’Orléans tentent depuis bientôt un mois d’identifier les commanditaires de ce chauffeur routier marocain. Cet homme, âgé de 33 ans, a été interpellé le 30 juillet sur l’autoroute A10 au niveau de l’aire de la Longue vue Indre-et-Loire, avec une somme de près de 176 000 euros. Vers 09h45, ce sont les douaniers qui ont interpellé le conducteur de cet ensemble routier marocain qui venait d’Allemagne. Les agents ont mis la main dans la cabine du camionneur sur ces billets de banque conditionnés dans des sacs plastique thermosoudés. … actu17 Merci à Marie Ange
ENVIRONNEMENT - Si notre système est accroc à une source d'énergie mettant l'homme en danger, il faudra réinventer nos modes de penser, de vivre, de gérer les savoirs. Depuis que dans la mythologie grecque, Prométhée nous a dotés du secret des machines, nous n'avons jamais cessé d'en user. Malheureusement celles-ci fonctionnent, depuis le XVIIIe siècle, principalement à base d'énergies fossiles, avec pour effet de réchauffer la planète. Notre société est aujourd'hui shootée au carbone. Chaque Européen rejette en moyenne sept tonnes de CO2 par an. Si nous ne réagissons pas, nous mourrons d'overdose, asphyxiés par les conséquences désastreuses d'une augmentation de la température. Selon le physicien Jacques Treiner, l'humanité est résolument engagée sur une trajectoire de réchauffement de 3°C à 5°C. Bienvenue dans l'Anthropocène, ère géologique dans l'histoire de la Terre qui débuta quand les activités humaines commencèrent à impacter de manière global l'écosystème. "Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles". La notre n'échappe pas à cette sentence de Paul Valery. Dans ce cadre, la COP21 s'apparente à la conférence de la dernière chance, alors même que les contributions déposées début octobre ne permettraient de circonscrire la hausse qu'à d'ici la fin du siècle au lieu du 2°C espéré. Saurons-nous provoquer la bifurcation salvatrice? Toutes les voix se font entendre. A commencer par le Pape Francis dans son encyclique Laudato Si qui dénonce notre dépendance aux énergies fossiles. Le Dalai Lama qui s'inquiète des effets du réchauffement sur le plateau tibétain. Jean-Claude Ameisen, président du comité national d'éthique, qui souhaite remettre le bien-être de l'humanité au centre de nos réflexions. Ou encore un collectif de cent personnalités parmi lesquelles Naomi Klein et Pierre Rabbi, qui réclame un sevrage total en laissant les énergies fossiles dans le sol. Une quasi cacophonie planétaire qui fait étrangement écho à certaines polyphonies de la Renaissance Jetons tous le leste à la mer, Sinon nous allons couler ! Et sans espoir de salut ! Portez secours à l'écoute ! Vous autres, à la barre ! Quelle lenteur ! Courrez, courrez ! Ne voyez-vous pas que nous sommes en perdition? Mateo Flecha, 1581 A tout seigneur tout honneur, c'est vers la finance que les regards se tournent pour chercher les leviers surpuissants qui feront basculer l'économie dans l'après carbone. Depuis quelque mois, les investisseurs n'acceptent plus de soutenir le charbon qui représenterait, selon l'ONG Carbon Tracker, 65% des réserves de GES d'origine fossile. Fin 2014, la Société Générale se retirait du projet Alpha Coal, un projet minier en Australie qui vise à exporter 30 millions de tonnes de charbon. Mai 2015, le Crédit Agricole annonçait ne plus vouloir financer les mines de charbon, et prônait une dé-carbonisation de ses portefeuilles. Lors du Climate Finance Day, Axa affichait sa décision de céder ses participations concernées par le charbon. "Un désinvestissement de 500 millions d'euros" selon Henri de Castries. Juin, le fonds de pension Norvégien communiquait son retrait d'environ 122 entreprises. Il faudra suivre attentivement. Si les financiers liquident leurs participations climaticides, c'est qu'ils auront trouvé d'autres investisseurs pour les racheter. La véritable avancée serait qu'ils ne trouvent pas preneur. Sans compter que les banques sont aussi accusées de double discours. Un rapport des Amis de la Terre et de Bank Track intitulé "Charbon l'argent sale des banques françaises", affirme que le soutien des banques au charbon aurait crû de 218% entre 2005 et 2013. N'est-ce pas plutôt dans l'économie réelle et globalisée, qu'il faut chercher le moteur qui inversera le taux de concentration du CO2 dans l'atmosphère ? Taux qui vient de franchir un nouveau record en 2014 à presque 400 ppm. Facebook connecte plus d'un milliard et demi d'humains, LinkedIn 400 millions. La puissance d'un réseau croît exponentiellement avec le nombre d'entités connectées. Déployons alors un réseau social de dizaines de millions d'entreprises ayant chacune pour objectif le zéro carbone, en capitalisant sur les liens déjà établis par les chaines d'approvisionnement. Tout acteur économique est relié à Internet et possède au moins un client. Foxconn a promis récemment de construire un parc solaire de 400 mégawatts d'ici 2018. Nul doute qu'Apple, qui vise la neutralité carbone en Chine et qui est le principal donneur d'ordre du géant Taiwanais, ait su trouver les bons arguments. "Le client est roi" est toujours l'adage qui prime. Imaginons des réseaux sociaux professionnels dans le "Cloud" autorisant les entreprises clientes à s'interconnecter aisément avec leurs fournisseurs pour monitorer leurs progrès en termes d'efficacité énergétique. A l'instar du GESI et de sa plateforme E-Tasc, initiative regroupant plus de 30 leaders des télécoms tels qu'Orange ou Deutsche Telekom, qui ont fait le pari de la mutualisation pour peser fortement sur les pratiques environnementales de leurs sous-traitants. Le couple client-fournisseur serait-il un effet de levier plus prometteur que la paire investisseur-entreprise? Essayons le. Le poison se diffuse depuis le moyen âge. A cette époque notre rapport à la nature avait déjà muté comme le décrit l'historien Jean Gimpel "Les souffleries de verre et l'industrie du fer détruisirent des forêts entières pour activer leurs fours et leurs forges". Le défi du XXIe siècle sera de trouver la volonté collective de changer. Si notre système est accroc à une source d'énergie mettant l'homme en danger, il faudra réinventer nos modes de penser, de vivre, de gérer les savoirs. "L'Anthropocène est une ère qui ne doit pas durer car elle est invivable" analyse le philosophe Bernard Stiegler. Pour lui la question n'est pas d'être optimiste ou pessimiste mais d'être combatif. Nous n'avons pas d'autres choix. Autrement, nous risquons de finir comme Prométhée; dévoré sur son rocher.
SynopsisBande-annonceCastingAnnée de production 2012Pays France Genre Documentaire - Politique Durée 52 min. Synopsis ital Il n'existe pas de mafia sans territoire mafieux...» /ital Dès qu'une organisation criminelle contrôle, comme en Italie, une région ou une ville, elle commence à gangréner l'économie mondiale explique Francesco Forgione, ancien président de la commission anti-mafia. Réinvesties dans une myriade d'entreprises propres», les montagnes d'argent sale - générées par les trafics de drogue, d'êtres humains, la contrefaçon - sont ensuite blanchies, en empruntant les circuits de la fraude fiscale ou financière. Au point de voir des zones grises», entre le milieu du crime et l'économie légale, se multiplier. Le piratage des marchés publics, comme le recyclage des déchets à Naples, en est la triste illustration Bande-annonce Vous regardez L'argent sale, le poison de la finance. Votre bande-annonce démarrera dans quelques secondes. Casting de L'argent sale, le poison de la finance Réalisateur
Ce film est un voyage au royaume de l’argent sale. De la Calabre à Londres, de la Suisse à l’Allemagne, le réalisateur part sur les traces de cet argent que l’on ne voit pas et dont on ne parle pas. Depuis plus de dix ans, toutes les énergies semblent tournées vers la lutte contre le terrorisme. Alors qu’une autre géopolitique se dessine, celle du crime organisé transnational, peut-être le grand défi du XXIe siècle. Une question se pose n’est-il pas déjà trop tard ? L’argent sale n’est-il pas devenu indispensable à la marche du monde ?
argent sale le poison de la finance