Evaluationde lecture + corrigé (autobiographie) pour des élèves de 3DP6. > Le cri de la mouette, de E. Laborit Document envoyé le 15-07-2010 par sandrine manson Evaluation de lecture début de séquence 3e. > L'autobiographie Document envoyé le 06-06-2010 par Christine Bettuzzi
Ily a quelques jours, deux jeunes hommes ont été tués par des policiers. Cela s’est passé à Vénissieux, dans la banlieue sud de Lyon, non pas lors d’un banal contrôle routier, mais au
Pourun peu, on entendrait le bruit du moteur du bateau, les mouettes qui braillent (ça s'appelle comment le cri de la mouette, au fait ? : le corbeau, croasse, la chouette hulule, Quid de la mouette ?) Celle/celui qui trouve gagne un filet (de pêche !) garni ! Faites gaffe au guano ! Répondre Supprimer. Réponses. Répondre. Lowell 12 juin 2009 à 05:03. This is
créépar Vyzer le 15 Oct. 2018, validé par Donaueschingen. Littérature, poésie. Niveau moyen (80% de réussite) 20 questions - 2 955 joueurs. Ce quiz porte sur ''Le Cri de la mouette'' d'Emmanuelle Laborit. 1.
Ily aura du vacarme dimanche à 11h, devant le restaurant Le pont tournant à Bierne. Une nuée d’humains grimés en oiseaux sont attendus sur son parking pour le neuvième championnat du monde du cri
SDrm. lecture cri de mouette Questionnaire de lecture Le Cri de la mouette, Emmanuelle Laborit 1. Pourquoi appelle-t-on l’héroine la mouette » ? Il 2. Comment s’appelle la sœUr d’Emmanuelle ? Comment la considère-t-elle ? Quel rôle joue-t-elle dans la vie d’Emmanuelle ? ustifiez. /2 3. Cite 2 étapes fondamentales écoles, lieux , méthodes du parcours effectué par d’Emmanuelle dans son ouverture vers le monde de la communication. /2 4. Comment signe-t-elle son prénom 5. Quelle passion artistique unit le père et la sœur d’Emmanuelle Sui to page à laquelle elle ne peu 6. Comment Emman dolescence ? Quels ses parents ? 12 7. Quel événement Swp next page res années de son s de désaccords avec ER, lors d’une sortie avec ses amis ? Quelles en sont les conséquences morales sur l’héroine ? /2 8. Que vole-t-elle dans un magasin ? Comment s’en sort-elle ? / 9. Cite une expériences vécue par Emmanuelle qui montrent que les sourds ne sont pas toujours considérés comme les égaux des entendants dans la société. /l 10. Dans quels travers tombe-t-elle à la fin de son adolescence ? / 11. Quelle épreuve lui fait le plus pe peur au BAC et pourquoi ? Il 12. Comment commence-t-elle sa carrière dartiste ? / 1 13. Dans quelle création artistique va-t-elle travailler ? / 1 14. Quelle récompense obtient-elle à la fin de son récit ? 1 15. Avez-vous aimé ce livre ? Donnez trois arguments . Pensez ? faire le lien avec le genre de l’autobiographie. /2 CORRECTION 1. Car elle pousse des cris d’animaux. Cétait son 1 er moyen de communication. 2. Elle s’appelle Marie . Elle la considère comme une amie, une confidente, une complice, une alter ego… Elle dit qu’elle l’utilise pour communiquer c’est elle qui répond au téléphone … lle onnaît la langue des signes et la langue orale 3. l/l_’orthophoniste durant sa plus tendre enfance qui l’aide ? communiquer avec ses parents. 2/Alfredo Corrado Centre social et culturel des sourds ? Vincennes IVT 3/Washington, la ville des sourds pendant un mois. 4/ L’enseignement oral à Paris. 5/ Les préventions contre le SIDA prodiguées par E. devant un public de sourds. 6/ Sa présence dans le film de Mnouchkine 7/ Le rôle qu’elle joue au théâtre. 4. Le soleil qui part du cœur. 5. Le piano 6. Elle se révolte et s’oppose à ses parents. Elle fréquente un garçon qu’elle aime beaucoup 2
SUJET DNB Séries Techno et Prof Juin metropole CORRIGE Première partie QUESTIONS 1. Le surnom de la narratrice est la mouette » l. 7. La phrase qui explique pourquoi ses parents l’ont surnommée ainsi est C’était, disaient-ils, des cris aigus d’oiseaux de mer, comme une mouette planant sur l’océan » l. 6 et 7 2 Dans la phrase Nous n’avons pas compris tout de suite.» le pronom nous » désigne les parents de la narratrice. Ce qu’ils n’ont pas compris tout de suite, c’est que leur fille était sourde de naissance. 3 Dans le dernier paragraphe, ce qui fait sourire la narratrice, c’est l’étrange ressemblance qui existe, sur le plan des sonorités, entre son surnom la mouette » et son état muette ». 4 Les propositions qui correspondent le mieux sont - à tue-tête fortement. - babillais gazouillais 5 Le mot fiers » ligne 15 est un adjectif qualificatif. Fierté » et fièrement » sont des mots de la même famille. 6 Dans les lignes 5 à 19, le temps le plus souvent utilisé est l’imparfait. Je vibrais » l. 5 et ton père mettait un disque » l. 18 sont deux exemples de verbes conjugués à ce temps. 7 Le mot surnommée » est construit à l’aide du préfixe sur - », du radical nom » et du suffixe -ée » 8 L’expression Nous t’avons crue "normale" » ligne 15 signifie que les parents de la narratrice n’ont pas imaginé un instant qu’elle pouvait être sourde de naissance. En effet, lorsqu’elle dormait à poings fermés malgré le bruit, ils croyaient que c’était parce qu’elle était une enfant sage. Ressentant les vibrations par le sol ou les mouvements de l’air, elle tournait la tête quand une porte s’ouvrait et il lui arrivait de danser quand il y avait de la musique l. 18 et 19. Pour toutes ces raisons, ils n’ont pas supposé qu’elle ne pouvait pas entendre. b Des cris » l. 1 les sons » l. 3, je vibrais » l. 5, des cris aigus » l. 6, la musique » l. 14 sont des expressions qui appartiennent au champ lexical de l’ouïe. Réécriture 1 Il était un très beau bébé, il est né sans difficultés, il pesait trois kilos cinq cents, il pleurait quand il avait faim, il riait ». 2 Maman me dit que lorsque mon père mettait un disque, je dansais sur place. Deuxième partie Rédaction 15 points Premier sujet sujet d’imagination. Concernant le choix de la situation La situation d’énonciation imposait de rédiger un récit à la première personne je. Pour ce type de sujet, le candidat peut faire appel à son expérience personnelle ou inventer une situation, sachant que personne n’ira vérifier si vous avez vraiment vécu ce que vous racontez ! Dans ce deuxième cas, veillez tout de même à ce que le récit reste crédible et vraisemblable. On peut évidemment s’appuyer sur une grande variété de situations. Les plus intéressantes seront sans doute celles où, bien qu’étant entouré d’autres personnes, vous vous êtes senti vraiment seul seul dans la foule, par exemple. Concernant le plan Le sujet impose un devoir structuré, c’est-à -dire composé de plusieurs parties, de plusieurs paragraphes. On pouvait, par exemple, utiliser le plan suivant - Les circonstances de la situation Où ? Quand ? Que s’est-il passé ? - Les sentiments ressentis surprise, solitude, sentiment d’incompréhension, difficulté à partager, tristesse, sentiment d’abandon ou autre, selon le cas…. Développer le champ lexical des émotions et des sentiments. Il était possible également d’inclure ses réflexions ce que l’on s’est dit dans cette situation, ses doutes etc. - Terminer par un élément de résolution une décision, une discussion avec une autre personne, le soulagement etc. Deuxième sujet sujet de réflexion. Le deuxième sujet est un sujet de réflexion demandant de donner des arguments autour d’un sujet. Il s’agit ici de débattre des avantages et des inconvénients des moyens de communication récents comme le téléphone portable, MSN…* en avançant différents arguments. *NB Les points de suspension suggèrent qu’on peut en intégrer d’autres, comme la communication par les blogs, les réseaux sociaux ou encore par langage TEXTO SMS etc. La rédaction doit prendre la forme d’une lettre adressée à une amie autrement dit d’une lettre amicale. Il faut donc inclure au minimum un lieu et une date ex Paris, le 20 juin 2009 » , une formule d’appel ex Ma chère Elise », le corps de la lettre, puis terminer par une formule de politesse ex Je t’embrasse bien fort ». La situation d’énonciation impose que l’auteur de la lettre qui dit je » s’adresse à son interlocuteur ou interlocutrice à la deuxième personne tu » ou vous ». Le plan est suggéré par le sujet puisqu’il faudra donner les avantages ET inconvénients. On pourra donc commencer par une partie sur les avantages en s’appuyant par exemple sur les arguments suivants - Ces moyens de communication récents sont très pratiques par exemple en cas de retard ou de contretemps ; certains d’entre eux permettent d’être joint partout ou presque ex le téléphone portable. - Ils sont rapides et offrent souvent une communication instantanée. - Ils permettent d’être à la mode dans le coup » et de communiquer avec ses amis ainsi des millions de jeunes ont ouvert leur blog, ces dernières années. - Les jeunes ont besoin de communiquer avec d’autres, d’avoir une vie sociale, d’être en contact avec leur tribu ». Et ces outils sont un bon moyen de le faire. Entre autres arguments Dans les inconvénients, on pourrait citer - Il y a un risque de dépendance et de surdose de communication » on se téléphone ou on s’envoie un texto pour un oui pour un non. On devient drogué au téléphone portable et au SMS. - A force d’écrire en langage TEXTO, on risque de s’habituer à négliger la grammaire et à oublier comment il convient d’orthographier les mots. A force de voir des mots mal écrits, on prend aussi le risque de photographier et de mémoriser une orthographe fautive. - La communication qui fait appel à des moyens de communication modernes risque parfois de faire oublier la vraie communication, la rencontre avec les autres enfermé chez soi, l’œil rivé à son écran, chacun risque d’oublier de communiquer vraiment avec ses proches. Entre autres arguments Ne pas oublier de donner des exemples précis destinés à illustrer les arguments avancés. Le texte doit être structuré il faut donc classer les remarques et faire des paragraphes. Penser aussi à conclure. On peut proposer une conclusion nuancée en disant que ces moyens de communication peuvent être la meilleure chose ou la pire tout dépend de l’usage qu’on en fera… Remarques générales Quel que soit le sujet choisi, les correcteurs prennent en compte l’orthographe, la grammaire, le respect de la syntaxe savoir construire des phrases correctes, utiliser convenablement la ponctuation, la clarté de l’expression ainsi que la richesse du vocabulaire. On veille en particulier à éviter les répétitions. Les rédactions doivent être structurées on classe ce que l’on a à dire et on fait plusieurs paragraphes. Dans la mesure du possible, on essaie d’introduire et de conclure. Enfin, le respect ou non de la longueur imposée une vingtaine de lignes fait également partie des critères d’évaluation ainsi que le soin et la présentation.
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Il y a quelques jours, deux jeunes hommes ont été tués par des policiers. Cela s’est passé à Vénissieux, dans la banlieue sud de Lyon, non pas lors d’un banal contrôle routier, mais au cours d’une intervention à connotation pénale sur un véhicule signalé volé à l’arrêt sur le parking d’une grande surface. Une situation qui laissait présager un mauvais coup ». Ce que les juristes appellent un délit d’apparence. Dans la nuit du jeudi 18 août 2022, peu après minuit, l’attention de quatre policiers de la brigade spécialisée de terrain de Vénissieux BST est attirée par une Renault Megane en stationnement sur l’immense parking d’un centre commercial. Deux hommes sont à bord, la voiture est signalée volée. C’est le type même d’une intervention à risques. En l’état, difficile de dire comment les événements se sont enchaînés, mais tout se joue en quelques dizaines de secondes le chauffeur aurait d’abord levé les mains, puis il aurait manœuvré pour s’enfuir, renversant un gardien. Le policier blessé et l’un de ses collègues auraient alors fait usage de leur arme à huit reprises. Adam, le passager, âgé de 20 ans, est mort sur le coup ; le conducteur, Reihane, 26 ans, est décédé peu après. On nous les présente comme des multiréitérants », un néologisme pour désigner des individus qui ont eu des comptes à rendre à la police mais non à la justice. Peu importe, même multirécidivistes, il s’agit là d’informations connues après coup. Cette fusillade unilatérale qui succède à d’autres tout aussi meurtrières Pont-Neuf, Barbès… pose question, car, contrairement aux allégations entendues ici ou là , notamment dans la bouche de politiciens plutôt rétrogrades dès qu’il est question de nos valeurs républicaines, l’usage des armes par les forces de l’ordre doit être l’exception. On signe pour sauver des vies, pas pour les prendre. L’entraînement des policiers du RAID ou des gendarmes du GIGN est d’ailleurs basé sur la sauvegarde de la vie humaine. C’est un échec », aurait dit un jour un gradé de la gendarmerie après que ces hommes eurent tué un preneur d’otages. Cependant, la loi du 28 février 2017 a inséré dans le code de la sécurité intérieure CSI l’article L 435-1 qui modifie la perception de la légitime défense. Il existe donc aujourd’hui deux vitesses la légitime défense qui s’applique aux particuliers, et une autre, modulée pour les représentants de la puissance publique. Cela n’est pas anormal, dans la mesure où policiers et gendarmes sont confrontés à des situations que ne connaît pas le citoyen lambda, dans la stricte limite toutefois du respect du droit à la vie », comme il est dit dans la Convention européenne des droits de l’homme. C’est pourquoi l’ambiguïté du paragraphe 4 de cet article du CSI pose question l’usage des armes est possible pour immobiliser un véhicule dont les occupants sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celle d’autrui ». Il faut comprendre la vie des policiers ou des gendarmes, pas celle des occupants du véhicule. On imagine le flic devant le refus d’obtempérer d’un chauffeur qui, en pleine nuit, s’interroge les occupants de cette voiture ont-ils l’intention de fuir le contrôle, ou d’attenter à ma vie ou à celle d’autrui ? Cet article du CSI, écrit avec le pied, est une diversion démagogique digne du quinquennat Hollande, car il appartient au législateur de dire clairement le droit afin d’effacer le doute qui nous interpelle à chaque nouvelle fusillade des forces de l’ordre et qui, je le suppose, doit laisser les magistrats dubitatifs. Comment rendre la justice en se basant sur un texte aussi approximatif ? Sans surprise, depuis la Corse – il est sur tous les feux – le ministre Darmanin lui ne s’est pas posé de question. Il a immédiatement réaffirmé son soutien a priori » à tous les policiers et les gendarmes de France qui font face tous les jours à des refus d’obtempérer. Alliance » était aux anges. Je suis au regret de dire au ministre que cette opération de police, telle qu’elle nous est présentée, est d’abord une opération de police judiciaire. Elle ne correspond pas à la définition du délit d’obtempérer prévue par l’article L233-1 du code de la route Le fait, pour tout conducteur, d’omettre d’obtempérer à une sommation de s’arrêter… » C’est seulement dans un deuxième temps, lorsque le conducteur décide de démarrer sous le nez des policiers, qu’il se rend coupable de ce délit. Ainsi en a décidé la Cour de cassation en février 2007, probablement en raison d’un vide juridique, puisque le délit de fuite ne correspond pas à cette situation. Depuis le 26 janvier 2022, l’article 233-1-1 du code de la route prévoit des peines très lourdes, jusqu’à sept ans de prison, lorsqu’il existe des circonstances aggravantes, mais lorsque Gérald Darmanin fait l’amalgame en affirmant qu’il y a un refus d’obtempérer toutes les demi-heures, il met dans le même panier l’automobiliste qui veut éviter une contredanse et le criminel qui risque la prison. Et ce n’est pas correct. Dans une interview accordée à Mediapart, Sebastian Roché, directeur de recherche au CNRS, dit que ces homicides policiers » sont de plus en plus fréquents. Et il fait remarquer que le fait d’avoir commis une infraction n’est pas un motif qui permet à un policier d’utiliser les armes à feu. » Il a entièrement raison, sauf qu’en 2017 le législateur a pensé différemment lorsque le conducteur d’un véhicule omet d’obtempérer à une sommation de s’arrêter », les policiers et les gendarmes peuvent faire usage de leurs armes – de manière strictement proportionnée – s’ils estiment que les occupants dudit véhicule sont susceptibles de commettre une infraction délictuelle ou criminelle. Est-il proportionné » de vider son chargeur au niveau de la tête sur le passager d’un véhicule dont le conducteur refuse d’obéir aux injonctions d’un policier ? Au passage, cet article L 435-1 règle l’usage des armes, il n’est même plus question de légitime défense. La France a changé d’époque.
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le cri de la mouette question reponse